Galerie virtuelle de olivier amblard
Photo présentation

Né en Juin1966, je suis peintre autodidacte originaire d’Orléans. Je vis depuis 1995 a TUCHAN dans l’Aude.
Artiste dans l'âme, dés ma plus jeune enfance j’ai toujours dessiné. Je touche à tout, de l’ébénisterie aux spectacles pour enfants en centres hospitaliers ou spécialisés pour les personnes handicapées. Là j’ai commencé à prendre plaisir aux joies des dessins collectifs ce qui m’a permis de dévoiler aux autres
ma passion graphique. Jusque là, je dessinais ou
peignais un peu dans mon petit coin à l’abri des regards
Mais ce n’est qu’en 2009, poussé par mon entourage
qui admirait déjà mes pastels, que je me lance dans une
nouvelle collection : «les stimulateurs d’imaginaire» en
créant mon propre style graphique laissant aux spectateurs
une lecture libre.
Mes créations sont imaginatives faisant découvrir
formes et voluptés aux fils des couleurs qui sont nées d’observations, d’imaginaire, d’émotions et de ressentis. Je ne veux pas enfermer mes œuvres dans une catégorie ou un style bien précis. Mes œuvres sont uniques, originales et pourtant d'un graphisme simple, pour créer l’envie de voyager dans mon monde imaginaire où les couleurs apportent réconfort et gaieté pour effacer les humeurs maussades. Comme je peins en tournant autour de ma toile chaque tableau peut-être regardé dans tous les sens. Pour moi la création est une véritable source d'évasion, de liberté mais aussi un refuge.
En 2010 je me lance dans ce que j’appelle les structures ou j’attire la nature et les objets qui m’entourent. Dans mon monde imaginaire, tel que des ceps de vigne coupés que je recompose pour les faire revivre sous mes couleurs en gardant leur forme originelle où j’y vois tant de chose.
Grand rêveur: «Je regarde mes œuvres du même regard que j’ai en regardant les nuages, et tout ce qui m’entoure, c'est-à-dire en laissant aller mon imagination. Mon travail consiste à dessiner des formes, des objets, mais aussi comme tout est lié sur terre à les lier entre elles de telle sorte qu’elles sont imbriquées les unes dans les autres. Si bien que l’on peut y voir tout autre chose
et ce dans tous les sens
que l’on positionne mes tableaux,
il suffit de les retourner
pour découvrir une nouvelle œuvre.»